Voici des extraits du texte qui met à mal mon «brûlot»:
(…) Les dernières pages du numéro d’Artension voient ce travail d’approche professionnelle (un grand dossier sur la critique d’art) totalement gâché par un brûlot imbécile et profondément réactionnaire issu d’un envoi mail anonyme. Nous l’avions reçu et mis à la poubelle de l’histoire de l’art(…) Pourquoi avoir confié trois pages sur « les schtroumpfs émergents » à cette personne lâchement cachée sous son pseudo débile, Nicole Esterolle, Elle (il) s’attaque notamment aux écoles d’art d’où elle (il) a du être refusé(e) comme étudiant(e), ou enseignant(e) et ignoré(e) en tant que juré des diplômes d’enseignement supérieur où des professionnels compétents sanctionnent les trois ou cinq ans de recherche au service d’une pédagogie du projet.
(…)Ces attaques sans fondement contre un artiste subtil et engagé comme Francis Alys ne méritent que dédain. Ces propos fielleux et revanchards ne constituent pas une critique mais des ragots et des dénonciations que le retour de la réaction politique décomplexée autorise aujourd’hui. (…) Nous savons soigner ces attaques, les écoles d’art fournissent d’excellents contre-poisons théoriques et pratiques.