La chronique n°24

Un bel entretien avec Jean Clair, flamboyant contempteur de  l’art dit contemporain.

Cet entretien, dont vous pouvez consulter le scan des 8 pages en cliquant ici,  qui m’a été envoyé, est paru dans le mensuel Acteurs de l’économie, revue économique diffusée dans la région Rhône – Alpes.

J’ai pensé que cet excellent texte méritait une plus large diffusion et c’est pour cela que j’en fais l’objet de cette 24e chronique et que je vous recommande  de faire l’effort de le lire attentivement… et aussi pour la satisfaction que vous aurez de remplir d’un  solide contenu les 15 minutes de votre vie, que vous aurez passées à le lire.

Notons que ce texte a été publié dans un magazine économique… comme si aujourd’hui, les vrais textes de réflexion sur l’art étaient plus recevables dans une publication économique que dans une publication proprement artistique…(C’est également  dans le quotidien économique Les Échos, que l’on trouve les articles  de Aude de Kerros sur le même sujet)

Jean Clair est l’un de ces notoires « réactionnaires à l’art contemporain », désignés comme tels et cloués au pilori, lors du fameux procès de Moscou qui eut lieu à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1992 , avec Catherine M. en grande inquisitrice, entourée de tous ses sbires de l’appareil administratif et du KGB artistique. Les autres « réacs » en 2012, étant Marc Fumaroli, Jean-Philippe Domecq, Luc Ferry, Jean Baudrillard, Pascal Brukner, Claude Levi-Strauss, François Chevallier, André Comte-Sponville, pour ne citer qu’eux… Tous écrivains et  philosophes reconnus et respectés, mais toujours objets de vils anathèmes et procès en ringardise (voire populisme ou fascisme), de la part de toute cette  faune parasite et  vibrionnante de fonctionnarisés ou subventionnés de l’art, médiocres agités du cortex, pédants locuteurs de l’inepte, laborieux liquidateurs du Sens, fellateurs du néant,  forcenés  défenseurs de  la pensée unique (ou plutôt absente), schtroumpfs innommables et sans noms mémorisables , à part cette Catherine M. dont on n’ose même pas prononcer le patronyme, tant ses frasques intellectuelles , et accessoirement sexuelles,  nous ont fait honte et ont sali l’art et l’humanité… Schtroumpfs donc, valets d’un soviétisme institutionnel national,  inféodé ( un comble) au libéralisme débridé de la grande spéculation artistico-financière internationale. ..

« Réactionnaire l’académicien ? Sectaire, l’ancien Directeur du Musée Picasso et commissaire de la Biennale de Venise ?  Bien davantage, son diagnostic et son cri résultent d’une exigence et d’une exemplarité, d’un appel à la responsabilité destinés à ressusciter ce dont l’homme est dépossédé dans son rapport à la création et à la société contemporaines : l’émotion et le sens », écrit Denis Lafay, l’auteur de cet entretien… Alors lisons Jean Clair et propageons ce qu’il dit et écrit.

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